7 wonders chez Repos Production: une petite merveille de jouabilité!
Attention, on va parler de l'un de mes jeux de société préféré: 7 wonders. J'ai pas mal fait de références à ce dernier lors de ma critique d'Elysium. 7 wonders, c'est un jeu de civilisation, de développement et de ressources. Un jeu qui demande un équilibre constant pour pouvoir gagner. Un jeu qui n'est pas trop compliqué mais qui va vous tordre les méninges! Les joueurs sont les maîtres d'une cité antique, ils doivent faire prospérer grâces à des infrastructures commerciales, scientifiques, civiles et militaires. Mais la gloire de la ville réside surtout dans une merveille qui mettra à terre les cités voisines!
Attention, on va parler de l’un de mes jeux de société préféré: 7 wonders. J’ai pas mal fait de références à ce dernier lors de ma critique d’Elysium. 7 wonders, c’est un jeu de civilisation, de développement et de ressources. Un jeu qui demande un équilibre constant pour pouvoir gagner. Un jeu qui n’est pas trop compliqué mais qui va vous tordre les méninges! Les joueurs sont les maîtres d’une cité antique, ils doivent faire prospérer grâces à des infrastructures commerciales, scientifiques, civiles et militaires. Mais la gloire de la ville réside surtout dans une merveille qui mettra à terre les cités voisines!
Ce jeu a raflé tous les prix en 2010 / 2011 lors de sa sortie, dont les plus prestigieux : le Kennerspiel des Jahres et l’As d’Or de Cannes. On est face à du lourd, du très lourd.
Ce qui fait la force de 7 wonders, c’est son accessibilité, les règles sont expliquées en 5 minutes et on peut s’amuser rapidement sans être un gros joueur.
Comment on joue à 7 wonders?
On commence le jeu par une pioche de merveille qui apporteront des ressources et des avantages selon le niveau de construction.
Ensuite sont distribuées un certain nombre de cartes par joueur. Classées par Age (I,II et III).
Les cartes ont des coûts de construction ou pas. Pour pouvoir poser une carte , il faut posséder les ressources nécessaires. Une fois la carte posée, on fait tourner les paquets à son voisin, on a donc un nouveau jeu en main.
Lorsque la dernière carte est jouée, c’est la fin de l’ère. On résout les guerres et hop, on recommence avec les cartes de l’ère II.
Les merveilles ont plusieurs niveaux de construction, pour pouvoir faire évoluer sa merveille, il faut payer le coût de construction ainsi que « sacrifier » une carte pour la construire: au tour de construction, on ne pose pas de carte « bâtiments ».
Pour plus d’informations sur les règles, allez faire un tour sur la vidéo-règle dédiée.
Pourquoi ce jeu est bien ?
La grande question est plutôt: pourquoi j’aime énormément 7 Wonders?
+ Ambiance antique
Attention, je dis bien antique et pas mythologique. Nous n’avons rien tiré de l’univers « fantastique » de la mythologie. Les lieux et merveilles ont réellement existé, il n’y a pas de « paf, tu te prends la foudre de Zeus, tu perds 20 or.
+ Qualité du matériel
Le coup de crayon de Miguel Coimbra est vraiment excellent. On retrouve dans le dessin la splendeur antique des lieux. Le seul bémol serait la fabrication des pièces en carton, je déteste le carton pour les jetons, je trouve que ça s’abîme trop facilement.
+ Les choix cornéliens
Globalement pour gagner, il faut le plus souvent construire toutes les étapes de sa merveille. Sauf que pour construire sa merveille, il faut à la fois avoir les ressources nécessaires, mais aussi sacrifier une carte. En début de partie, on n’a pas les ressources, en fin de partie, les cartes permettent de marquer (beaucoup) des points . Il faut donc trouver le bon moment où construire pour ne pas devoir faire l’impasse sur des bonnes cartes en fin de partie. C’est ici que réside la difficulté du jeu et qui va départager les bons joueurs des autres.
7 wonders (2011) | |
|