Zelda + Diablo = Summon Night Twin Age.
Il y a plusieurs mois maintenant sortait sur le territoire américain un jeu nommé Summon Night Twin Age, ce petit jeu DS est passé sans faire de grosses vagues dans le monde des joueurs rôlistes. Et pourtant Summon Night a tout d’un grand RPG, ou du moins un ARPG (Action RPG). C’est joli, ca bouge bien, bref, je suis fan !
Petit rappel pour ceux qui ne connaissent pas, Summon Night est une série de jeux sortis d’abord sur psx puis sur PS2, des version GBA ont aussi vu le jour, ceux qui trainent sur 2chan ont déjà dû voir des wallpapers ou des CGs de la série, et si l’on peut dire une chose en les voyant, c’est que c’est joli. Les illustrations, les dessins, les graphismes et autres sprites ont droit à un traitement de faveur. Je m’étais étonné devant le graphisme de Zelda Phantom Hourglass, Summon night m’a encore plus bluffé : pas un ralentissement, il peut y avoir des dizaines d’ennemis, des sorts en pagailles, le frame rate ne se plombe pas comme cela pourrait être le cas dans des jeux de moins bonne qualité.
Je suis à un peu plus de 10 heures de jeu, le scénario est correct : Le héros se trouve être un familier invoqué par l’héroïne lors d’une mauvaise manip ! (CF Zero no Tsukaima ), Les deux jeunes enfants sont placés loin du monde des humains chez des hommes aux oreilles poilues (faut le voir ^^ ). Un grand trouble apparait dans la force (enfin la magie ), nos deux héros vont partir à la recherche de la source du mal et vont se faire pas mal de potes en chemin !
Parlons des potes justement, ils servent de PNJ durant les zones de donjons, en gros le joueur contrôle un des deux héros et laisse le second à l’IA, mais peut quand même en prendre le contrôle quand il le souhaite. Les PNJ eux sont entièrement gérés par l’ordinateur, un système d’affinité à la Luminous Arc permet d’améliorer les relations avec ces PNJ, à vérifié, mais il me semble que pendant les combats, les persos avec une forte affinité font de meilleures actions. Et pour augmenter cette affinité ? Il suffit simplement de jouer avec ce PNJ. Plus on est avec lui, plus il est pote avec les héros. Simple mais efficace, hélas, ça oblige à garder toujours la même équipe car on ne tient pas à se refaire la longue monté des niveaux d’affinité pour un autre perso !
Les quêtes annexes sont donnés par d’autres PNJ, des marchands le plus souvent. Ceux-ci vendent aussi les armes, armures, accessoires et autres potions. Mais ils permettent de forger de nouvelles armes tout en les craftants de divers bonus.
Menu du jeu / Arbres des compétences
Enfin, si le scénario principal tourne autour des bêtes invoquées, il reste que l’héroïne est une invocatrice, à ce titre, elle pourra invoquer grâce à l’aide d’un autre personnage des monstres qui viendront aider pendant le combat. L’affinité doit jouer aussi un grand rôle dans la réussite de l’invocation.
Pour en revenir au titre, pourquoi avoir dit que Summon Night était un mélange entre Diablo et Zelda ? En premier lieu, la jouabilité de ces deux jeux sont dans Summon Night, on clic sur le monstre pour le taper (et oui Summon Night Twin Age se joue uniquement au stylet ! ). Et comme dans Diablo, un arbre de compétence est disponible pour les deux persos principaux (pour avoir tel sort il faut d’abord avoir augmenté d’autres sorts ) Ces compétences sont augmenter grâce à des Skill Point que l’on acquiert au fil du temps (monté d’un niveau il me semble ).
L’héroïne lance un éclair en suivant la ligne tracée par le joueur.
Le seul point positivement négatif est l’ambiance sonore, elle ne fait pas honneur au reste du jeu, même si les musiques sont mignonne, elle ne sont pas transcendantales, dommage… Mais à part ça, rien à redire, reste à voir la durée de vie du jeu, j’espère au moins 20heures, ça serait pas mal. Il faut savoir que deux autre Summon Night sont sortis au japon sur DS, mais il s’agit cette fois des adaptations des originaux PSX, se sont des Tactical RPG, Chouette ! de bons moments en perspectives ! Pendant que j’y suis, voici le trailer du jeu, bon mattage et bon jeu !
Dialogue entre les personnages